Il y a quelques temps de ça j'avais lancé la partie "définitions" du PBI. Mais cette pseudo encyclopédie comporte également des articles complets sur certains sujets... enfin "des"... y'en a au moins un d'écrit, peut être deux si je cherche bien. Voici donc le texte à peine remanié écrit à l'époque.

Faisons un peu d'éthymologie, conquête, de... non, ami précieux, je sais qu'il s'agit du premier article de ce "pépé"* illustré et qu'il est dur d'entrer dans le vif du sujet, mais quand même ! Non, conquête ne vient pas de con et de quête. Quoique. En effet une quête c'est l'action de chercher, or conquête vient du latin quaerere qui signifie chercher (c'est bien foutu la langue française ).
La conquête, qu'est-ce ? (répête le en boucle à toute vitesse, c'est drôle, enfin si tu sais te contenter de peu). On peut entrevoir différentes acceptions dans ce mot : la conquête féminine, la plus belle conquête de l'homme (ne pas confondre ces deux acceptions), la conquête d'un territoire, avoir des envies de conquêtes. Nous n'en étudierons ici que quelques unes.
En ce qui concerne la conquête féminine je vous propose de vous réferer à l'article à venir qui lui sera consacré. Idem pour le cheval.
La conquête d'un territoire sera plus spécifiquemetn relié à la guerre.
Nous voici donc face aux envies de conquêtes.
Que peut on encore dans notre monde moderne avoir à conquérir ?
Il y a derrière ce mot une notion de férocité : conquérir un marché, c'est s'y engager avec la ferme intention d'être le meilleur, de dévorer ses concurrents. C'est bien pour cela qu'elle reste l'expression préfèrée de bien des bigotes :"Quand est-ce conquête ?".